Ce laboratoire de recherche baptisé « Incontinence et vieillissement » devrait permettre de mieux comprendre les causes de l’incontinence urinaire, de développer de meilleurs traitements de physiothérapie et d’identifier les femmes physiquement susceptibles d’en bénéficier. Pour atteindre ces objectifs de recherche, le laboratoire s’est doté d’outils de pointe tels que l’imagerie par résonance magnétique (IRM), la dynamométrie, l’ultrasonographie, etc. Enfin, cet établissement devrait également permettre d’améliorer l’accessibilité aux traitements d’incontinence et par conséquent la qualité de vie des aînés.