En France, plus de 500 000 personnes sont atteintes d’hépatites chronique B ou C, une infection virale souvent découverte par hasard, lors d’un bilan. Pourtant, une simple prise de sang permet de détecter cette inflammation du foie et d’engager un traitement si nécessaire. Il existe un vaccin contre l’hépatite B, mais pas pour l’hépatite C. A l’approche de la journée mondiale des hépatites qui se tiendra le 19 mai, la fédération SOS hépatites rappelle qu’il est important de se faire dépister, surtout dans les cas suivants :
Si vous avez été transfusé avant 1992,
si vous avez touché à la drogue soit par voie nasale, par injection ou en partageant du matériel d’injection,
si vous avez subi une grosse opération chirurgicale,
si quelq’un de votre famille est porteurs du virus,
si vous vous êtes fait faire un piercing ou un tatouage,
ou si vous avez été incarcéré.
En France, plus de 500 000 personnes sont atteintes d’hépatites chronique B ou C, une infection virale souvent découverte par hasard, lors d’un bilan. Pourtant, une simple prise de sang permet de détecter cette inflammation du foie et d’engager un traitement si nécessaire. Il existe un vaccin contre l’hépatite B, mais pas pour l’hépatite C.
De nouveaux traitements pour l’hépatite C plus courts et plus efficaces (sur 6 mois au lieu de 12), verront le jour prochainement. En attendant la prévention est toujours d’actualité.
Les renseignements sur la journée du 19 mai sur www.soshepatites.org
L’infection par le virus de l’hépatite B se distingue par son caractère sexuellement transmissible, ainsi que par la transmission de la mère à l’enfant. L’infection par le virus de l’hépatite C, bien que sa transmission par voie sexuelle soit possible, se transmet essentiellement par voie sanguine.