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Quiet quitting : une nouvelle enquête sur la démission silencieuse

Quiet quitting : une nouvelle enquête sur la démission silencieuse
Branly – Spot 2 – PC
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D’après la dernière enquête de l’IFOP et du site LesMakers.fr, le phénomène de quiet quitting, ou démission silencieuse, serait en nette croissance depuis les trois dernières décennies.

Selon l’enquête de l’IFOP et du site LesMakers.fr, 37% des actifs français déclarent aujourd’hui qu’ils vont travailler principalement pour l’argent tout en faisant « juste ce qu’il faut » dans le cadre professionnel, refusant les heures supplémentaires et d’éventuelles tâches qui ne relèveraient pas de leur mission. Une tendance baptisée « Quiet quitting » ou démission silencieuse.

L’enquête démontre également que la proportion d’actifs français ayant le sentiment de donner plus qu’ils ne retirent de leur travail a quasiment doublé, passant de 25% en 1993 à 48% en 2022.

Des observations qui sont toutefois à relativiser face à deux autres constats : 51 % des sondés indiquent s’impliquer beaucoup dans leur travail contre 45% qui disent faire juste ce qu’il faut ; alors que le télétravail a longtemps été « vu d’un œil suspicieux », pour 63% des personnes interrogées, n’implique pas une productivité moindre de la part de ceux qui en bénéficient.

Plus obtenir d’informations sur cette enquête dédiée au phénomène de quiet quitting, rendez-vous sur : https://lesmakers.fr/francais-travail-sondage-ifop/

À lire aussi : Plein emploi pour les personnes en situation de handicap : 18% des PSH y croient

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